DURES COMME LE BOIS de Judith Wiart et Frédérick Houdaer
J'ai visité dix-neuf tableaux au réalisme dérangeant parce qu'il faut bien le reconnaître, on vit dans un truc qui gratte. A chaque nouvelle lue, ça gratte un peu plus mais on n'y peut rien, on ne peut rien soulager, juste se satisfaire du point final...